mardi 6 novembre 2012

Droit commercial - Accord oral - Accord Agence potentiel - Conditions orales


Le cas de v Aboualsaud Aboukhater et autre [2007], concerné un accord en agence où un demandeur a soutenu le droit à la commission en vertu d'une convention orale exécutoire. Le demandeur a été le vice-président exécutif de l'Office d'investissement du Koweït à Londres et un conseiller financier à la fois une société de pétrole au Koweït et à la ministre de l'Énergie. Le premier accusé était un directeur commercial du bureau du gouvernement de l'un des Emirats Arabes Unis à Londres. Le deuxième accusé, le père du premier défendeur, était le bénéficiaire d'un certain nombre de grands hôtels.

Dans les années 1990, le demandeur et le premier défendeur a eu une réunion à Londres. Ils ont ensuite devenus des amis proches. Ils verraient les uns des autres chaque semaine et serait prendre la parole sur les jours la plupart des téléphones. Puis, à la fin 2002, le demandeur allègue que le premier défendeur lui avait parlé au sujet de la vente de l'un des hôtels de son père. L'hôtel particulier concerné était le «Monte Carlo Grand Hôtel» («MGCH").

Le demandeur soutient en outre que une convention orale exécutoire avait été fait avec le premier défendeur. Il a affirmé que l'accord est né de diverses réunions et des appels téléphoniques et que les termes ont été que s'il introduit une partie des accusés, et que ce parti est allé à acheter le MCGH pour un prix qui soit acceptable pour eux, il aurait droit à une commission de 21.5million EUR.

En Décembre 2004, le MCGH a été vendue à-Uni, un membre de la coentreprise européenne FHR Ventures LLP. Le demandeur fait valoir que la vente avait été facilitée par l'introduction de SAR le Prince Al Waleed bin Talal bin Abdulaziz Al Saoud, qui était le principal propriétaire du Royaume.

Les prévenus ont nié qu'il y ait eu accord contraignant pour le paiement de la commission dans les conditions que le demandeur avait allégué. Les défendeurs ont estimé que le cas était tout simplement celle où un ami a demandé l'aide d'un autre ami, et que si cette aide soient couronnées de succès, le paiement en reconnaissance de cette aide pourrait être prévu.

Le cas lieu à un procès.

La question qui se pose doit être décidée par les tribunaux était de savoir si il y avait un contrat d'agence entre le demandeur et le défendeur d'abord, cette dernière agissant pour lui-même et son père.

Le tribunal a statué que la preuve, le compte du premier défendeur était plus convaincante que celle du demandeur. Cette augmentation est principalement en ce qui concerne les points essentiels en litige, à savoir, comment les discussions entre les amis se leva, la façon dont les discussions ont progressé et ce que le résultat de ces discussions était.

Le tribunal a estimé que sur cette base, il ne pouvait pas être de tout accord agence à laquelle un contrat juridique contraignant pourrait être établi. Par conséquent, le jugement serait rendu en faveur des accusés.

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